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ALGORITHMIE DECISIONNELLE



Note sur l'algorithmie décisionnelle

(dans la considération de la pensée humaine)

Début de rédaction par Laurent Cancé F. (17.10.2006).



Dans la considération des influences historiques, politiques et religieuses, la mesure de la prise de décision est difficile dans l'état du choix d'évaluation. L'influence psychologique des divers évênements relativement au sujet choisit et dans les optiques de finalité diverses aboutissent essentiellement à l'évaluation des erreurs passées et la compensation avec les théories établies entre temps.

Mathématiquement parlant, même une symbolique sur la notion de décision aboutit à un ensemble restreint d'état ou de choix, dans la mesure ou seules les erreurs sont quantifiables. Les raisonnements d'ordre énumératifs complémentaires, considérant la notion d'erreur relatent de la faculté de juger et donc de décider.

Dans la considération politique, par exemple, les divers choix peuvent découler d'une minoration des erreurs, ou une série d'influences ou de mesures visant à éviter toute forme de répétition. De l'adage, "l'histoire se répète" (1), le sous-entendu d'erreur commise est évident, et il est certain, que la forme entre en jeu dans l'évaluation d'une situation, d'où l'intérêt d'une symbolique sur la notion de choix, d'action et de décision. Mais la quantification de l'erreur prime dans la considération des choix qui y ont aboutie.

Dans la considération du travail, l'organisation de son temps effectif est essentiel; notons les relativités avec les pauses détentes et les évaluations diverses selon la culture et la politique. On constate par exemple, une récente notion de stress au travail, sans doute induite par la modification du régime d'action ou de gestion, notamment dans les relations inter-personnel, d'où l'intérêt de constater les erreurs habituelles et récurrentes dans la mesure ou l'adage(1) est toujours vérifié...

En matière de recherche de solution, il vient toujours le même problème de facteur économique en partie lié à la concurrence, et notamment les diverses formes d'erreurs ou d'échecs relatives à ces cycles ou protocoles qui malgré l'évolution permanente (progrès, innovations, ...) ne subissent que peu d'évolution. On note entre autre, la notion de rentabilité dans le processus d'ingéniérie d'un produit. Les notions d'économie et de distribution en masse, interviennent autant dans le processus de progrès des différentes technologies, jusqu'à la considération des réelles innovations. La notion de vitesse d'évolution et de différentiation s'implique donc dans l'évaluation de l'erreur.

Etc.







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