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ALGORITHMIE DE GENEALOGIQUE ETENDUE



Note sur l'algorithmie de généalogie étendue

Début de rédaction par Laurent Cancé F. (9.02.2007).



La considération du sens visuel selon le modèle intégral signifierai que chaque cellule nerveuse de l'oeil perçoit l'image observée. De surcroit, par comparaison aux modes de fonctionnement des félins, en hypothèse sur la similitude biologique, il vient que le cerveau humain perçoit une information dérivée. Autrement dit, l'objet en mouvement.

Deux preuves déjà, contribuent à cette hypothèse :

1. le mode de chasse des chats est toujours lié à une contraction de l'iris.

2. l'être humain a pour habitude de focaliser sur un objet fixe, et la partie du cerveau dite de réflexes est liée à un mouvement rapide sur l'extrème.

Autre point, l'art est basé sur la représentation d'un sujet observé sur un support; les algorithmes des peintres par exemple, sont différents et variés et les relations entre motifs et sujets interprétés découlent de la méthode, mais aussi du fonctionnement cérébral humain.

Or, on sait la prédisposition, et les preuves sont nombreuses, des êtres vivants à chercher et apprendre de nouvelles informations; cela dit, d'un modèles basés sur la génétique ou plus matériel de la pensée, il vient une idée de travail génétique; à transposer donc en généalogie cognitive.

Note 1: Il est judicieux de considérer que les sens en général puissent être travaillés !

Note 2: En approximation du pattern recognition, l'application évidente est la comparaison de schème sur le modèle de filtrage des dérivées (cf. article précédent)





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